« Mes pensées ne sont pas vos pensées,
et mes chemins ne sont pas vos chemins », dit le Seigneur
Isaïe 55, 7
OK, mon Dieu, heureusement !
Nous sommes dans un monde un peu paumé,
Où nous avons peur pour nos avoirs,
Où nous sommes inquiets pour notre être.
Les bourses font du yoyo,
Le fossé entre riches et pauvres grandit,
Les entrepreneurs cherchent rentabilité et profit
La « dette » écrase les petits.
Nous te prions d’abord pour eux,
Les victimes du grand ménage boursier,
Les chômeurs, les licenciés au nom d’intérêts peu louables.
Toi qui es un Dieu de tendresse,
sois toujours à leurs côtés !
Alors tu nous racontes une histoire,
Celle du propriétaire de la vigne,
Qui paie autant l’ouvrier de la dernière heure
Que celui de la 1ère heure.
Pas juste, n’est-ce pas ?
Tu nous expliques autre chose
Tu nous montres l’exemple de la générosité,
Tu nous dis que la justice ne tient pas sur le mérite
Mais sur l’égalité de la tendresse que tu portes à chaque homme.
Montre-moi la voie de Ta justice
Le chemin de ta bienveillance,
Pour que moi aussi,
Je porte attention à chaque homme,
Quel qu’il soit,
Sans jugement tout fait,
Sans regard envieux ou méprisant
Sans souci du rang ou de l’efficacité.
« Tes pensées ne sont pas nos pensées »
Ouvre nos cœurs à ta logique divine !
Une logique de Père
plus qu’une logique de comptable…
Une logique de l’Amour partagé à chacun…
YG