Dans la vie, nous commettons des erreurs,

Nous rencontrons des circonstances qui nous détournent de notre chemin.

Et nous regrettons, mais nous ne pouvons pas revenir en arrière.

 

La femme adultère doit être de celles-là.

Elle a été infidèle à son mari.

De sa faute ? Pas de sa faute ?

Pas vigilante ? Lasse ?

Tu ne lui poses pas la question.

Ce que tu vois, c’est sa souffrance.

 

On lui jette des pierres.

Les hommes ont vite fait de juger, de cataloguer.

Tu leur fais remarquer :

« Que celui qui n’a jamais pêché lui lance la première pierre ».

 

Tous s’en vont.

Je serais sûrement parti, moi aussi !

On n’est pas terrible et on se permet tellement de juger :

« Regarde celui-ci, son allure ! »

« Tu vois comme il est habillé »

« quel fainéant celui-là ! »

« Et malpoli, en plus, il ne dit jamais bonjour ! »

« Elle, elle ne me revient pas »

 

Mais nous, sommes-nous si généreux, si aimables ?

Avons-nous cherché à deviner le vécu de celui que nous jugeons ?

Cherchons-nous à l’aider ou à lui montrer sa faute pour l’enfoncer ?

 

Simplement Tu la redresses,

Et Tu lui dis :

« Va, ne pèche plus ! »

Tu la remets debout !

 

Aide-moi

A rester dans tes voies, fidèle à ta parole,

A ne pas juger trop vite,

A remettre debout celui qui reçoit une pierre,

Pour qu’il ne se sente pas écrasé !

 

YG